En préparant la saison international du triathlon, débutant chaque année en mars, janvier et février sont invariablement les mois d’entraînement les plus poussés. En contraste de novembre et décembre où je reprends tranquillement et je travaille surtout le technique, en janvier et février j’augmente le volume et l’intensité de mes entraînements. J’avais choisi d’aller seul à Font-Romeu (France) afin de faire un stage en altitude. Dans le passé l’altitude a toujours eu un effet positif sur mes prestations et j’y ai parcouru pendant une période de trois semaines tranquillement mes kilomètres. J’y ai fait la connaissance d’autres athlètes, raison pour laquelle mon isolement social devenait plus supportable. Les trois semaines se sont bien déroulées, accompagné de la neige tout comme du soleil et j’ai ressenti un sentiment de grande satisfaction au retour.

Quelques jours plus tard, je suis à nouveau reparti pour deux semaines, cette fois-ci dans la direction de lieux plus ensoleillés en Espagne, ensemble avec mon groupe d’entraînement habituel et mon entraîneur. Je viens de terminer ma première semaine durant laquelle je me suis entraîné durement et la présence de mes camarades d’entraînement a fait en sorte que ces entraînements intensifs soient d’autant plus poussés. Par contre pour les plus longs parcours en vélo, il est évidemment plus agréable de pouvoir se mettre à l’abri du vent en roulant de temps en temps derrière quelqu’un d’autre.

Actuellement, je n’ai pas encore la certitude si oui ou non je serais sur la liste de départ pour l’étape de la « World Triathlon Series » à Abu Dhabi, le 5 Mars. Heureusement, samedi le 12 mars je peux quand même participer au Worldcup à Mooloolaba (l'Australie). Evidemment j’espère avoir l’opportunité de tester ma condition dans une de ces compétitions.

Sportivement, Simon